Le développeur ostendais Elicio a soumis une offre pour la construction d’un parc éolien offshore au large de la côte bretonne. Il s’agit de la plus grande enchère de parcs éoliens flottants en Europe.
Le producteur d’énergie Elicio confirme qu’il a soumis, en collaboration avec un partenaire français, une offre pour la construction d’un parc éolien flottant d’environ 250 mégawatts au large de la côte bretonne. Le gouvernement français décidera l’année prochaine de la partie qui pourra construire le parc, qui devrait être opérationnel en 2030 ou 2031.
L’enchère est suivie de près à l’échelle internationale, car il s’agit de la première fois qu’un grand parc éolien avec uniquement des turbines flottantes est soumis à une offre, et le prix de l’électricité produite est un élément décisif.
Les éoliennes flottantes sont construites sur une structure flottante ou ancrée dans le fond marin. Cette technologie est utilisée pour des projets dans des zones où le fond marin est trop profond pour des fondations en acier classiques. Les éoliennes de la zone en Bretagne seront installées dans des zones où la mer a une profondeur de 60 à 100 mètres, ce qui est bien plus profond que les premiers parcs éoliens belges construits sur des bancs de sable moins profonds.
Pour ce projet, Elicio a formé le consortium Pennavel en partenariat avec le producteur d’énergie verte BayWa r.e., une filiale du géant allemand de l’agriculture BayWa. Elicio et BayWa r.e. ont déjà remporté un projet de construction d’un parc éolien flottant au large des côtes écossaises.
Le développeur ostendais Elicio a soumis une offre pour la construction d’un parc éolien offshore au large de la côte bretonne. Il s’agit de la plus grande enchère de parcs éoliens flottants en Europe.
Le producteur d’énergie Elicio confirme qu’il a soumis, en collaboration avec un partenaire français, une offre pour la construction d’un parc éolien flottant d’environ 250 mégawatts au large de la côte bretonne. Le gouvernement français décidera l’année prochaine de la partie qui pourra construire le parc, qui devrait être opérationnel en 2030 ou 2031.
L’enchère est suivie de près à l’échelle internationale, car il s’agit de la première fois qu’un grand parc éolien avec uniquement des turbines flottantes est soumis à une offre, et le prix de l’électricité produite est un élément décisif. Les éoliennes flottantes sont construites sur une structure flottante ou ancrée dans le fond marin. Cette technologie est utilisée pour des projets dans des zones où le fond marin est trop profond pour des fondations en acier classiques. Les éoliennes de la zone en Bretagne seront installées dans des zones où la mer a une profondeur de 60 à 100 mètres, ce qui est bien plus profond que les premiers parcs éoliens belges construits sur des bancs de sable moins profonds.
Pour ce projet, Elicio a formé le consortium Pennavel en partenariat avec le producteur d’énergie verte BayWa r.e., une filiale du géant allemand de l’agriculture BayWa. Elicio et BayWa r.e. ont déjà remporté un projet de construction d’un parc éolien flottant au large des côtes écossaises. Le duo a également réussi la présélection pour la construction d’un autre parc éolien offshore en France, en Méditerranée. La date limite de soumission des offres définitives n’interviendra qu’après l’annonce du lauréat de l’appel d’offres pour le projet en Bretagne.
Il n’est pas clair quelles autres parties ont soumis une offre. Parmi les dix candidats ayant survécu à une première sélection, figuraient de nombreux consortiums avec de grands acteurs, dont les géants français EDF, TotalEnergies et Engie, ainsi que les géants internationaux RWE, Shell, Iberdrola et Vattenfall.
Elicio est la seule entreprise belge à avoir participé à l’appel d’offres français. Lors d’un précédent appel d’offres pour un parc éolien au large de Dunkerque, près de la moitié des consortiums avaient un partenaire belge à bord.
Elicio, qui est issu des restes d’Electrawinds en faillite, est l’un des principaux acteurs de l’énergie éolienne en mer en Belgique et participe à quatre parcs éoliens en mer. Il possède également un vaste portefeuille de parcs éoliens terrestres en Belgique, en France et en Serbie, et est détenu par l’intercommunale liégeoise Enodia (Nethys).
